Bridge To Hell 2025 report premier jour 

 Crépuscule et Chaos sur le Pont de l'Enfer !

 

Affiche Bridge To Hell 2025

Eiga ✘ Locomuerte ✘ Foss ✘ Seth ✘ Tagada Jones

 


L'odeur de la bière qui chauffe, le bourdonnement des amplis sous tension, et la foule compacte qui attend sa dose de décibels. Bienvenue au Bridge To Hell #5, camarades ! Ce soir, la scène va devenir un champ de bataille où le Modern Metal, le Chicano Mosh, le Black Metal le plus noir et le Punk Hardcore le plus engagé vont se disputer nos âmes. C'est plus qu'un festival, c'est un pèlerinage pour les damnés de la note lourde. La tension est palpable, le souffle de l'enfer est en approche... Le Vendredi va être long, et il va faire mal, très mal.


Eiga : Les lames affûtées du métalcore

Dès 17h, la messe est dite, le bal des démons est ouvert par Eiga. Ces p'tits gars de Montpellier, on les connaît, on les a vus traîner leurs guêtres sur le Hellfest Warm-Up plus tôt cette année. D'ailleurs, le live report de MyRockRevolution a confirmé qu'ils avaient foutu le feu en compagnie de Novelists et Nervosa, prouvant qu'ils étaient bien plus qu'une simple première partie. Ils ont déjà fait leurs preuves, et ils ne sont pas là pour enfiler des perles. Leur metalcore se gave de gros riffs bien gras et de breakdowns dévastateurs, un savant mélange qui te ramène illico dans les années 90-2000, quand le nu metal tenait le haut du pavé. On sent les influences de Northlane et Deftones, ce qui n'est jamais mauvais signe.
Mais le plus bluffant chez eux, c'est leur façon de dégager une énergie brute, quasi viscérale. Le chanteur hurle ses tripes sur "The Unseen" et "Anima", deux titres qui sont de véritables uppercuts. On a l'impression d'assister à une lutte intérieure, à une confession tourmentée, et ça, ça prend aux tripes. Le public, d'abord un peu timide, commence à se réchauffer, les premiers headbangs apparaissent, les poings se lèvent. La batterie martèle, les guitares hurlent, c'est une véritable déferlante sonore qui emporte tout sur son passage. Eiga n'est pas un simple groupe de metalcore, c'est une expérience immersive, un cri de rage qui résonne et qui ne laisse personne indifférent.

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Locomuerte : Le rodéo chicano du chaos 

Le soleil décline sur les montagnes drômoises, mais sur scène, la température monte en flèche ! LocoMuerte débarque, et avec eux, c'est la fiesta du mosh qui commence. Ces Frenchicanos du 91, on les attendait de pied ferme. Depuis la sortie de leur dernier album, "Parano Booster", le groupe a enchaîné les festivals et les tournées, semant la folie partout où ils passent. On a pu lire que leur passage au Motocultor avait été un triomphe, avec un public en fusion et des live reports qui n'en finissent pas de louer leur énergie sur scène. C'est vrai, leur mélange de thrash, de punk, de hardcore et de touches chicano est une recette unique en France.
El Termito, le frontman, se déchaîne avec un flow qui claque en espagnol, te balançant des "¡ Pura Vida !" et des "¡ Matando la ligua !" entre deux riffs dévastateurs. Les mecs ne sont pas là pour rigoler, mais pour faire la fête. Le public le leur rend bien, la foule est un immense pogo où se mêlent fans de la première heure et curieux. Les crocodiles gonflables font leur apparition, et on assiste à un rodéo sur croco au beau milieu du pit, c'est totalement absurde et tellement jouissif. LocoMuerte c'est ça : des gros riffs, des paroles percutantes, mais surtout une ambiance de teuf générale où la seule règle est de se lâcher. Ils ont même un nouveau clip en collab avec Black Bomb A, "Fumamota", qui fait un carton depuis sa sortie en août. La preuve que les gars ne se reposent jamais sur leurs lauriers.
Et comme si ça ne suffisait pas, le groupe pousse le délire à son paroxysme. Sur les dernières notes de leur morceau, le chanteur balance un "Montez sur scène bande de tarés, c'est la fiesta !". Aussitôt dit, aussitôt fait. Le public n'a pas besoin de se faire prier. La barrière s'ouvre, la foule se rue sur les planches, et le concert se transforme en une gigantesque scène où tout le monde headbangue, pogote, et hurle les paroles. C'est le chaos total, un bordel organisé où l'on est tous des frères et sœurs, unis par la sueur, la bière et le son. Après un concert pareil, on n'a qu'une envie, c'est de se jeter dans le prochain pogo qu'ils déclencheront.

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Foss : La Leçon de Brutalité Solo, le moshpit n'a pas d'excuses 

Kik Mastan, L'Homme Seul Contre le Temps Mort. Émeute en Moins de 10 Minutes ! » Alors que les techniciens s'agitaient, démontant les amplis de Locomuerte avec la frénésie du chaos post-mosh, l'ambiance retombe... Non, pas au Bridge To Hell ! Là en extérieur au milieu de la foule, on t'envoie Kik Mastan, l'unique cerveau et bras armé du projet Foss, pour t'assurer que ton rythme cardiaque reste à 180 BPM ! C'est une image incroyable et brutale qui s'offre à nous : un seul homme sur les planches (ou plutôt, souvent devant la scène pour le contact maximal). Kik Mastan est seul, sa guitare branchée, et derrière lui, un séquenceur qui crache des blast-beats et des breakdowns d'une lourdeur insoutenable. C'est l'essence du Hardcore "Do It Yourself" poussée à son paroxysme : un homme, une machine, et la rage ! Pendant que la foule est encore en nage, il enchaîne les hymnes Métalcore du projet, le visage à vif, hurlant les paroles directement dans les yeux des premiers rangs. C'est le contact charnel que tu n'as qu'avec ce genre de performance solo. Il n'y a pas de barrière, pas de dilution de l'énergie : tout est concentré sur ce guerrier solitaire qui doit à lui seul générer le son d'un groupe complet.La puissance des riffs est là, l'intensité du chant est décuplée par le fait qu'il n'y a rien d'autre sur lequel se concentrer. C'est brut, c'est honnête, et ça nous rappelle que l'on peut faire une musique puissante et complexe avec une approche minimaliste.Foss a assuré l'inter-scène avec une maîtrise et une folie absolument remarquables. Il a non seulement réussi à combler le vide avant l'arrivée de Seth, mais il a aussi injecté une dose de Hardcore pur et violent qui a secoué les derniers hésitants. Kik Mastan est un champion de la fosse, une performance qui restera gravée dans les annales des inter-scènes du Bridge To Hell ! Chapeau bas, l'artiste !

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Seth : Le sang des maudits qui coule au pied du donjon 

La nuit s'abat, lourde, poisseuse, une chape d'humidité qui colle aux âmes et alourdit les cœurs déjà gorgés d'attente. Les visages, marqués par l'impatience, se font plus sombres, la foule est un bloc compact et menaçant, le silence, putain, le silence est une bête prête à rugir. Et puis, la déflagration.Un nuage de fumée qui empeste l'encens noir, des stroboscopes qui déchirent la pénombre, et la silhouette de Heimoth émerge des ténèbres, le guitariste qui a la haine en bandoulière. Derrière lui, le commando de l'apocalypse est au complet : le prophète Saint Vincent au chant, et un nouveau line-up qui a fait couler pas mal d'encre (et de sang symbolique) ces derniers temps, avec l'arrivée de l'orfèvre Pierre le Pape aux claviers et le rouleau compresseur Draakian à la batterie, une paire qui t'atomise le tympan en moins de deux.Ils sont là pour la besogne, pour nous décapiter à la hache avec leur dernier bébé, le terrifiant La France des Maudits, sorti en plein cœur de l'été 2024. Un album qui, d'après les dernières interviews de Saint Vincent, n'est plus une lamentation dans les catacombes, mais un véritable cri de révolte qui te hurle aux oreilles que tu es "celui qui s’élève des ruines". Et, bordel de merde, ça se sent dans chaque riff ! On n'est plus dans le lo-fi crasseux d'antan ; le son, clair et puissant comme une charge de cavalerie, est signé Francis Caste (Studio Sainte-Marthe). On dirait une armée en marche, sans débandade possible.Le set démarre sans sommation avec les titres de ce nouvel opus, des hymnes de résistance qui font résonner la rage dans toute la vallée de la Drôme. Les riffs acérés comme des lames de rasoir d'Heimoth déchirent la brume, pendant que la voix de Saint Vincent, toujours aussi possédée, déclame la révolte. Sa présence scénique est purement théâtrale, il incarne chaque mot, chaque once de souffrance, et le public ne s'y trompe pas : les têtes headbanguent en cadence, les poings se lèvent comme des menaces. On est tous des maudits ce soir, des gueux qui réclament la tête du roi !Soudain, au milieu de ce chaos parfaitement orchestré, une figure sort de l'ombre. Melainya B, la danseuse et performeuse qui a collaboré sur leurs projets les plus récents, fait son apparition. Son costume de scène est un cauchemar éveillé, fait de lanières de cuir qui laissent deviner une peau diaphane. Mais ce qui te cloue sur place, c'est le sang, des traces de sacrifices rituels qui dégoulinent sur elle. Ses mouvements sont à la fois gracieux et saccadés, une poupée désarticulée qui vient de prendre vie par la force du Black Metal. Elle ne danse pas, elle souffre avec la musique, elle fusionne avec elle. Le contraste entre la sauvagerie brute du son et la fragilité apparente de sa performance est saisissant, presque insoutenable.À un moment d'apothéose malsaine, elle se campe devant la scène, un crucifix inversé à la main, une icône blasphématoire vivante. Ses gestes incarnent la violence et le désespoir des paroles, elle se tord, elle se plie, ses mains cherchent l'impossible. La foule est hypnotisée, les regards se croisent, la stupéfaction se lit sur chaque faciès. C'est un moment de poésie noire pure, qui rajoute une putain de dimension à la prestation déjà colossale de Seth. On n'est plus au concert, on est au Théâtre de l'Horreur le plus gore et le plus raffiné qui soit.Mais Seth n’est pas là pour faire dans la dentelle ou les fioritures. Ils savent que les puristes sont venus pour la boucherie rituelle. C'est là que retentit un riff qui te coupe le souffle, un truc familier qui te glace le sang, un classique intemporel qui te fait frissonner comme la première fois que tu as plongé dans les abysses du Black. Les morceaux de Les Blessures de l’Âme débarquent alors comme une tempête de désespoir primale. Le public entre en transe collective, l'atmosphère est chargée d’une émotion brute, d’une nostalgie féroce. La setlist est un chef-d'œuvre de l'équilibre, un mélange parfait entre le passé glorieux qui t'a fait aimer le groupe et le présent brûlant qui te promet l'apocalypse.

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Tagada Jones : La Rage au Cœur du Bridge To Hell

Minuit passé, les légendes montent sur les planches. Tagada Jones, les éternels insoumis du Punk Hardcore français, sont là pour donner le coup de grâce à cette première nuit. Plus de 25 ans de carrière, des milliers de concerts, et une rage qui n'a pas pris une ride ! Le groupe reste fidèle à ses convictions : une musique énergique, sans compromis et des textes profondément engagés contre les dérives de notre société.
Dès les premières notes, le tsunami est lancé. La fosse explose dans un moshpit d'anthologie. Niko, le frontman, est un chef d'orchestre du chaos, sautant, haranguant, crachant sa vérité dans un micro. La setlist est un festival d'hymnes revendicatifs, de « Je suis démocratie » à « Le dernier baril », le tout joué avec l'urgence du Hardcore des premières heures. On a le droit à des extraits plus récents, mais ce sont les classiques qui font le plus mal, qui te rappellent que Tagada Jones est la colonne vertébrale d'une scène qui ne lâche rien. J'ai même surpris des morceaux de leur tournée 2025 comme un « Zéro de conduite » qui a mis l'Espace Soubeyran à genoux. C'est brut, c'est honnête, c'est Rock'N'Roll jusqu'à la moelle, et c'est exactement ce qu'on était venu chercher. Le pont vers l'enfer est solidement bâti !

 

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La Conclusion qui pique : Nuit Noire et Cendres Chaudes

Le Bridge To Hell a tenu toutes ses promesses pour ce vendredi. Eiga nous a montré que la relève Modern Métal est là, et qu'elle a les crocs. Locomuerte a transformé la Drôme en une bodega du Thrash Crossover survoltée. Seth nous a plongés dans les abysses d'un Black Métal français plus que jamais pertinent et impérial. Et enfin, Tagada Jones a refermé le cercueil de cette soirée avec une leçon d'engagement et de Punk Hardcore indémodable.Mes tympans saignent, mes cervicales sont en grève, et mon cœur est rempli de cette énergie brute et sincère que seul le Métal underground peut offrir. Le Bridge To Hell, c'est la preuve que même dans la Drôme, l'esprit de l'insurrection est bien vivant. 

Rendez-vous demain, pour la suite du carnage ! 

La Drôme est K.O., mais elle va se relever. 

 

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Xylia pour Yog Sothoth Photography !